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Le potentiel de l’hydrogène est titanesque à l’échelle mondiale

D’ici 2050, l’hydrogène représentera jusqu’à 24% de la demande énergétique mondiale. C’est un chantier planétaire d’environ 15 000 milliards $ qui démarre.

 

Toutefois, la course à l’hydrogène vert est déjà bien lancée. La France et l’Allemagne y investiront chacun 9 milliards d’ici 2030. Les experts prédisent que la partie devrait se jouer d’ici 2035 pour déterminer qui seront les leaders de l’hydrogène vert de demain.

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Le Québec doit se positionner. L’hydrogène transforme la menace des changements climatiques en immense opportunité économique de transition écologique.

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Le Québec doit viser le peloton de tête. Éco, c’est un véritable projet de société, ainsi qu'une vision économique de la transition écologique au bénéfice de toutes les régions. Le projet ÉCO, c’est une véritable révolution énergétique.

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Le Projet ÉCO, c’est par exemple un projet minier près de Fermont, qui extraira son minerai de fer en utilisant un équipement lourd alimenté à l’hydrogène au lieu du diesel. C’est un minerai transporté jusqu’à Sept-Îles ou ailleurs, par un train propulsé à l’hydrogène. C’est une nouvelle aciérie installée au Québec où l’hydroélectricité et l’hydrogène vert permettent ensemble la production efficace et carboneutre de l’acier.

 

Cet acier, parmi les plus verts au monde, sera alors mis sur un bateau propulsé à l’hydrogène pour être exporté aux quatre coins du globe.

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Dans le projet ÉCO, après s’être déployé dans les ports et des gares, la distribution d’hydrogène se transportera vers les aéroports. Le Québec prendra sa place dans la réalisation d’un premier avion à l’hydrogène d’ici 2035 avec sa filière de l’aéronautique.

 

L’avion du futur pourrait être assemblé chez-nous!

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Le projet ÉCO libérera le plein potentiel de l’économie circulaire en récupérant les tonnes de biomasse qui dorment présentement au Québec.

La biomasse forestière du Saguenay–Lac-Saint-Jean, de l’Abitibi, de la Côte-Nord, la biomasse agricole du Centre-du-Québec et la biomasse domestique des quatre coins du Québec seront mises à profit.

 

Cette matière première permettra d’augmenter la production d’hydrogène ou de biocarburants.

 

Le projet ÉCO, c’est également des centrales thermiques desservant les communautés de la Basse-Côte-Nord, de la Haute-Mauricie et du Nunavik qui ne sont pas connectées à Hydro-Québec. Elles pourraient être converties à l’hydrogène.

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La combinaison de l'hydroélectricité et de l'hydrogène vert propulsera le Québec de demain. Éco, c’est un nouvel horizon.

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Nous n’aurons plus à demander l’autorisation de nos voisins pour partager notre énergie verte, car le monde sera désormais notre marché.

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